Nice s'incline face à la Lazio

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Les Niçois ont rivalisé mais ils n'ont pas su concrétiser leurs occasions.

 

 

Un début de match animé

 

Pour cette rencontre, Favre décide d'aligner Sneijder en tant que meneur de jeu. 

Les Aiglons débutent la partie de la meilleure des manières. En effet, Balotelli ouvre le score en étant à la réception d'un centre de Sneijder (4e). Cependant, la réaction des visiteurs ne se fait pas attendre. La Lazio égalise par l'intermédiaire de Caicedo qui profite d'une erreur de Cardinale (5e). Après cette minute de folie, Nice conserve le ballon dans les pieds et multiplient les passes sans toutefois se montrer dangereux. Bien au contraire, ce sont les Romains qui se procurent une double occasion mais ni Nani, ni Radu ne parviennent à tromper Cardinale. Les Laziales n'ont pas la possession mais ils sont les plus tranchants à l'image d'une nouvelle frappe de Di Gennaro qui passe au-dessus des buts niçois (39e). Les deux formations rentrent finalement aux vestiaires dos à dos.

 

 

Des Laziales efficaces

 

De retour sur la pelouse, les hommes de Favre sont proches de reprendre l'avantage mais Balotelli ne parvient pas à cadrer alors que le but était totalement ouvert (49e), quel raté. Sneijder est vraiment à son avantage pour son retour, il parvient à inquiéter Strakosha sur une tentative à l'entrée de la surface (57e). Malheureusement pour les Niçois, les Romains sont bien plus réalistes. La Lazio reprend l'avantage sur un centre de Caicedo parfaitement repris par Milinkovkic-Savic (65e). Le but du break est manqué de peu par Immobile quelques minutes après en raison d'un Cardinale impérial (70e). Balotelli n'est vraiment pas en réussite dans cette seconde période, son tir finit sa course juste au-dessus de la transversale (76e). Nice pousse pour égaliser mais de manière trop brouillonne à l'instar d'une opportunité de Pléa (82e). Cette inefficacité est une nouvelle fois punie, Milinkovic-Savic s'offre un doublé sur un corner botté par Luis Alberto (89e) et scelle ainsi la victoire.

 

 

En raison d'un manque cruelle de réalisme, les Aiglons concèdent la défaite face au favori de la poule. Ainsi, la première place semble d'ores et déjà s'éloigner. 

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