David De Gea (gardien, Espagne)
Impressionnant avec Manchester United, le portier des Red Devils a été très loin de son niveau lors de ce mondial. Avec un seul arrêt et six buts encaissés en quatre rencontres, le gardien espagnol n'est pas étranger aux résultats en dents de scie de sa sélection.
Daniel Carvajal (latéral droit, Espagne)
Malgré sa blessure en finale de la Ligue des Champions, le latéral a disputé trois rencontres sur quatre. Absent pour le premier match face au Portugal, l'Espagnol a parfaitement été supplée par Nacho. Par la suite il réintégrera le onze titulaire mais n'aura pas son rendement habituel.
Jérôme Boateng (défenseur central, Allemagne)
Que ce fut compliqué pour le défenseur du Bayern Munich. Pris de vitesse à de nombreuses reprises pendant ce mondial, le numéro 19 a été à la peine lors des deux rencontres disputées. Trop souvent à la limite contre la Suède, il a logiquement écopé d'un carton rouge synonyme de fin de mondial.
Gerard Piqué (défenseur central, Espagne)
Dans la lignée de ses prestations avec le FC Barcelone, Piqué est loin d'être irréprochable pendant cette coupe du monde. Coupable de fautes plus qu'évitable, le défenseur espagnol a même permis aux Russes de revenir dans la partie en commettant une main dans la surface de réparation.
Marcelo (latéral gauche, Brésil)
Ce n'était pas le Marcelo de fin de saison qui avait embarqué avec la Seleçao mais plutôt celui du début de saison 2017-18. Rapidement sorti contre la Serbie, il n'a pas disputé le huitième de finale afin de mettre toutes les chances de son côté pour être opérationnel au tour suivant. Aligné d'entrée mais pas remis à 100%, Marcelo a subi et a été pris de vitesse contre les Belges.
Javier Mascherano (milieu, Argentine)
Pensionnaire du championnat chinois, l'ancien catalan a souvent était dépassé au milieu du terrain. Plus habitué à un rythme aussi élevé, le milieu argentin a fait son âge dans cette sélection puisqu'il a été pris de vitesse lors de chaque rencontre et a commis des fautes à de nombreuses reprises.
Mesut Ozil (milieu, Allemagne)
Vivement critiqué pendant le mondial, le milieu allemand n'a pas su répondre sur le terrain. En passant totalement à côté du match d'ouverture, le numéro 10 a été sorti du onze titulaire pour le match contre la Suède. De retour dans l'équipe-type pour le match décisif, le gunner n'a rien apporté dans cette rencontre.
Christian Eriksen (milieu, Danemark)
Considéré comme le créateur de cette équipe danoise, Eriksen a sans doute été submergé par la pression. Très bon lors de la phase éliminatoire, le milieu de Tottenham a inscrit qu'un seul but et a été trop discret en Russie.
Lionel Messi (attaquant, Argentine)
Avec un seul but en quatre journées, Messi a confirmé les difficultés qu'il éprouve en sélection. En manquant le penalty de la victoire lors du premier match, Léo n'est pas rentré de la meilleure des manières dans son mondial. Peu aidé par son équipe, le numéro 10 argentin n'est pas parvenu à faire des miracles.
Robert Lewandowski (attaquant, Pologne)
Meilleur buteur des matchs éliminatoires l'attaquant du Bayern Munich est resté muet en Russie. Pire encore, Lewandowski a été bien trop discret dans le jeu pour aider son équipe à sortir de la phase de poules.
Neymar (attaquant, Brésil)
Malgré ces deux réalisations, Neymar est passé à côté de son mondial. Sans doute en manque de rythme, l'attaquant du PSG n'a pas porté sa sélection comme il avait su le faire auparavant. Très nerveux sur le terrain et auteur de multiples simulations, «Ney» s'est fait de nombreux ennemis sur le rectangle vert.
A.C
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